Après toutes ces informations précises des semaines dernières, je vous offre un blog un peu plus court et alléger cette semaine, mais tout aussi pertinent!
Avez-vous déjà aperçu les mots comme « colle », « glu » ou encore « gomme » pour parler du gluten? Pour ma part, c’est arrivé régulièrement. Au début, je me disais mon dieu, ces gens me disent n’importe quoi? Ils ne connaissent pas le gluten et me parlent de glu (surement, car le nom se ressemble)…
Parenthèse : Il y a de sa 2 ans, dans ma région éloigner de l’Abitibi, la grosse majorité des gens ne savait aucunement ce qu’était le gluten, alors quand il me parlait de colle j’étais exaspérée. Même à l’épicerie c’était la guerre pour trouver des articles étiquettes « sans gluten ». J’avais la grande chance de lire tous les ingrédients de tout tout tout ce que je mangeais. Je peux vous dire que ma première épicerie sans gluten fut extrêmement longue. Sans parler des restaurants (on s’en reparlera, car j’en ai épais sur le cœur haha). Et à bien y repenser, merci à ma famille de m’avoir appuyée là-dedans, car ce n’était pas toujours facile. Je suis certainement que plusieurs d’entre vous me comprendrons.
Bref, revenons à notre colle!
Ces gens n’étaient pas fous, car en latin le gluten signifie glue ou colle. En plus, d’avoir ce synonyme, la signification le décrit bien, puisque le gluten a comme propriété de donner l’élasticité et la consistance aux préparations. C’est pourquoi les boulangers utilisent toujours des farines les plus raffinées (transformé) possible, car les protéines de gluten sont encore plus présentes dans celle-ci et facilitent le travail de ces artisans.
En plus de ces deux arguments, le gluten colle la nourriture dans votre intestin ce qui cause chez les intolérants et cœliaques des constipations, puis des diarrhées. Le gluten colle aussi à vos parois intestinales. Ce qui vient brimer vos villosités intestinales et engendre d’autres problématiques de santé.
Alors voilà mon histoire de colle!